mardi 30 décembre 2014

Demain après la fête, pas de folies

Pensez à Uber, si vous ne connaissez pas, inscrivez vous sur Uber.com et profitez de 20 euros de crédit grâce au code promo: il3wo

La vie, c'est sérieux. Ne jouez pas avec elle sinon, c'est la mort qui aura le dernier mot. 




 https://www.facebook.com/video/video.php?v=10150530736400820

samedi 13 décembre 2014

Uber passe et les taxis et VTC trépassent

Suite à la décision du tribunal de commerce, ce vendredi 12 décembre 2014 de ne pas se prononcer sur le sort de l'application UBERPOP en préférant laisser cela aux pouvoirs publics, des dents ont grincé d'un côté et des soulagements ont été perçus du côté d'UBER qui dans un message envoyé à tous ses conducteurs UBERPOP, les a invité à continuer à assurer le service UBERPOP. 

 Le tribunal de commerce de Paris a refusé vendredi 12 décembre d'interdire le service controversé UberPOP du géant du véhicule de tourisme avec chauffeur Uber, constatant que des décrets d'application de la loi Thévenoud encadrant l'activité des VTC et taxis n'avaient pas été publiés.

Autre victoire pour Uber, le tribunal, saisi en référé par des sociétés de VTC concurrentes, a décidé de transmettre à la Cour de cassation deux questions prioritaires de constitutionnalité (QPC) soulevées par l'entreprise américaine au motif que des dispositions de la loi Thévenoud pourraient porter atteinte à la liberté d'entreprendre et au principe d'égalité

http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/le-tribunal-de-commerce-n-interdit-pas-uberpop-7775857384

Même si certains, ont essayé de deviner dans la décision du tribunal que le service UBERPOP  ne pouvait plus continuer, il est évident que la pilule passe très mal et pour réagir à la décision jugée scandaleuse par les syndicats de taxi , il est prévu une grève des chauffeurs de taxi qui comme à leur habitude, utilisent l'intimidation face aux pouvoirs publiques. http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/uberpop-les-taxis-appeles-a-bloquer-paris-des-5-heures-lundi-matin-7775868940
 
Sur les ondes radio, un représentant d'une société de VTC concurrente 

dont voici l'interview.



Benjamin Cardoso (LeCab) : "Qu'Uber respecte le... par FranceInfo

mercredi 10 décembre 2014

Entre pro UBER et anti UBER, c'est la guerre


Depuis le week end passé et l'UBERGATE, cette triste histoire de viol d'une jeune femme d'affaire par un conducteur utilisant la plateforme UBER qui a provoqué un véritable Tsunami à l'encontre de la société californienne. Autant, dans un état de droit où la liberté d'expression est inscrite dans la constitution, avoir des réserves contre une entreprise qui plus est innovante, n'a rien de choquant, autant cet acharnement aussi intense relayé par des lobbies qui hier encore s'affrontaient, je veux parler de celui des Taxis et des VTC et les services de police et les tribunaux s'apparente réellement à une persécution gratuite. 

J'ai l'impression que le principal reproche fait à Uber est son arrogance et  qu'elle soit américaine. Entendre des artisans taxi appeler à consommer français et privilégier ceux qui paient leurs impôts en France, quelle connerie. La jouer, Poujadiste à l'heure européenne et du mondialisme dans une économie libérale où services et marchandises circulent librement, c'est du grand n'importe quoi. Ces chauffeurs de taxi qui se prennent pour Arnaud Montebourg, leur voiture est elle française, leur gaz oil est il français, la station qui le distribue paie t-elle ses impôts en France et les chauffeurs paient ils, tous, leurs impôts en France. ça me rappelle un candidat qui plutôt que mettre en avant la qualité de son programme, appelait à faire barrage au front national. 

Il faut vraiment se demander pourquoi le public boude les taxis et ils ne le font pas, je l'espère par dénigrement du consommer français alors pourquoi? 
Les chauffeurs de taxi devront se poser la question et réfléchir sérieusement à la réponse qu'ils devront s'obliger à entendre.

Ainsi depuis plusieurs semaines, la moindre occasion même futile est utilisée pour dénigrer UBER. On accuse les conducteurs d'UBER d'être des fraudeurs en puissance sans le moindre début de preuve alors que dans le même temps, des secteurs connus pour être les champions de la fraude ne font l'objet d'aucun article. Un viol se produit et vlan, on image que chaque conducteur Uber est un prédateur sexuel alors que la quasi majorité est exemplaire, un enfant est renversé au bout du monde et on accuse encore l'application. ça tourne  véritablement à l'obsession et quand les politiciens et la justice rentre dans la danse, les uns avec le désir d'avoir leur part du gâteau et les autres subissant la pression des lobbies ou étant dépassés par l'explosion de l'offre en applications des nouvelles technologies, préférant se recroqueviller derrière des lois poussiéreuses qu'oser innover.



Ce qui est navrant, c'est l'attitude de la police en France. Alors que Uber fait face à de nombreux procès et qu'aucune décision définitive n'a encore été prise, cela n'empêche nullement la police de s'en prendre aux conducteurs Uberpop et de multiplier, les contraventions et les convocations devant la justice. Si l'activité est illégale pourquoi ne pas s'en prendre directement à la source UBER et pourquoi les laisser continuer à faire la promotion de l'activité en multipliant les partenariats avec de prestigieuses entreprises. De nombreux conducteurs qui signent un partenariat avec UBER, ignorent pour la plupart le fait qu'ils sont en illégalité et UBER ne leur dit rien à ce sujet. Ceux qui se font arrêter par la police sont pour la plupart des petits gens qui essayent d'arrondir leur fin de mois et les pénalités qu'ils reçoivent sont énormes. La police connait le donneur d'ordre et pourquoi pénaliser le conducteur et pas le passager qui devrait être autant dans l'illégalité. S'il est reproché au conducteur de faire un travail illégal, celui qui fait appel à lui est aussi dans l'égalité ainsi que l'intermédiaire qui met le conducteur et le passager en relation. Le constat est qu'actuellement, le seul à casquer, c'est le conducteur. Une injustice criarde.

Ce vendredi 12 décembre, le tribunal de commerce de Paris va se prononcer sur l'offre UBERPOP de la société UBER. quelque soit la décision prise, j'espère juste que les choses seront clarifiées vis à vis des conducteurs qui dans ce dossier sont plus des victimes que des coupables.



A lire: http://www.duperrin.com/2014/12/10/economie-collaborative-partage-gouvernements/

http://www.contrepoints.org/2014/11/27/189512-uber-pour-tous-et-tous-contre-uber

http://www.nytimes.com/2014/12/08/opinion/we-cant-trust-uber.html?smid=tw-share&_r=0


http://www.20minutes.fr/economie/1498083-20141210-uber-attaque-monde-entier




http://www.bloomberg.com/infographics/2014-12-09/uber-under-fire.html

mardi 9 décembre 2014

A Bombay, tous les chauffeurs de Taxi vont être contrôlés

Après le viol d'une jeune femme , vendredi 28 Novembre 2014 à New Delhi par un conducteur UBER qui s'avérait rouler avec des documents usurpés à une autre personne, la police de Bombay (Mumbai) a décidé durant le mois de Décembre de procéder à un vaste contrôle des antécédents de l'ensemble des chauffeurs de taxi de l'agglomération et Ce n'est pas une mince affaire. Imaginez 44500 chauffeurs de taxi à contrôler qui se distinguent entre 3500 chauffeurs qui passent par des applications, 3000 VTC et 38000 taxis traditionnels. La police a décidé de frapper fort et de suspendre les licences de ceux qui ne seront pas en règle. L'opération doit durer une quinzaine de jours et se terminer avant la fin du mois. 

liens de référence: http://www.ndtv.com/article/cities/police-to-conduct-background-checks-of-taxi-drivers-in-mumbai-632229

http://www.ndtv.com/video/player/news/very-few-safety-promises-kept-recounts-this-cab-driver-in-bengaluru/347801?utm_source=taboola


http://www.ndtv.com/article/india/a-week-ago-woman-reported-uber-driver-shiv-kumar-yadav-for-staring-632291?utm_source=taboola

http://www.ndtv.com/article/india/what-uber-ceo-says-about-delhi-rape-631453?utm_source=taboola


http://www.ndtv.com/article/cities/shocked-shaken-say-delhi-women-after-rape-involving-uber-cab-driver-631290


http://www.ndtv.com/article/cities/cab-driver-with-uber-accused-of-raping-delhi-woman-arrested-from-mathura-631180


http://www.ndtv.com/article/india/what-it-took-to-find-the-uber-driver-accused-of-rape-631237

https://fr.news.yahoo.com/un-chauff...ber-soupçonné-viol-en-145235752--finance.html


http://www.planetoscope.com/Criminalite/1202-nombre-de-viols-commis-dans-le-monde.html
 

jeudi 4 décembre 2014

UBERZONE, le forum dédié aux conducteurs UBERPOP

Aux Etats Unis, il existe pages, groupes facebook et des forums, tous dédiés aux conducteurs UBER américains et totalement indépendants de la start up américaine qui n'a jamais rien fait pour permettre aux utilisateurs ou conducteurs de se rencontrer et d'échanger. Vous me direz, normal, les conducteurs ne sont que des partenaires et non les salariés d'Uber quant aux utilisateurs, le fichier est gardé jalousement par la compagnie UBER qui doit en prendre soin avec beaucoup d'attention.

Depuis peu de temps, il existe son pendant en France sous la forum d'un forum qui s'adresse essentiellement aux conducteurs Uber. C'est un lieu d'échange qui doucement mais surement tisse sa toile sans aucune prétention particulière si ce n'est de créer un lieu d'échanges sans prise de tête pour mieux s'informer. 

Voici le lien du forum: http://www.uberzone.fr/index.php


samedi 29 novembre 2014

ça cause dans les chaumières

Jamais depuis qu'Uber existe, les médias en France ont autant causer sur le dossier UBER et oh grand jamais, les médias ont été autant divisés sur l'attitude à adopter face à UBER.
Le débat ne fait en réalité que commencer entre les tenants du statut-quo et les modernistes qui veulent que les règles dans le domaine du transport mais pas seulement soient totalement transformées pour tenir compte des nouvelles réalités de l'économie internet, de l'arrivée de nouveaux métiers et du besoin grandissant de plus de flexibilité dans le domaine de l'économie du partage. Je ne sais pas qui sera le gagnant final. La partie s'annonce difficile pour Uber qui pourtant sauvera quelque soit la décision une grande partie des meubles. Les véritables perdants seront à coup sûr, les citoyens, ceux qu'on interroge jamais, qu'on ignore quand on ne les méprise pas.











vendredi 28 novembre 2014

C'est le ménage à la direction d'UBER

Le PDG d'Uber Travis Kalanick ne supporte plus les dérapages au sein de sezs responsables, du coup, les têtes tombent. Aujourd'hui, c'est Josh Mohrer qui en fait les frais après avoir accéder à au moins un historique d'un passager. Trop, c'est trop à un moment où les attaques viennent de partout.

http://pando.com/2014/11/28/uber-takes-disciplinary-actions-against-ny-boss-which-likely-means-very-little/

Uber has reportedly “taken disciplinary actions” against its New York General Manager, Josh Mohrer after Buzzfeed reported that Mohrer had accessed at least one reporter’s rider history.
According to Slate, a spokeswoman for Uber declined to comment on any specifics of the “disciplinary actions.” Slate also says Mohrer “is thought to be in the inner circle of the company’s CEO, Travis Kalanick.”
As we’ve reported previously, Uber has previously resisted any calls to fire any senior executives, particularly those close to Kalanick, even for serious violations of stated company policy. The company’s SVP of business, Emil Michael was not fired, or apparently subject to any other disciplinary action, even after he admitted to boasting of a plan to target the families of journalists, including Pando’s Sarah Lacy. In addition, we understand that no one was fired over Uber’s advertising campaign in Leon which likened female drivers to professional escorts. This leniency is in stark contrast to Uber’s reported policy of promptly terminating drivers who fall below a 4.6 star rating on the company’s app.
This is not the first time Mohrer has been an embarrassment to Uber. Immediately after Buzzfeed broke the news of Uber’s threats against reporters, Pando’s David Holmes reported that Mohrer had posted (and later deleted) a photograph of members of his team dancing to Taylor Swift’s “Shake it off,” with the caption “#HatersGonnaHate.”
More seriously, when Guardian assistant news editor Erin Mccann complained of being aggressively kicked out of an Uber cab, Mohrer went on the attack, claiming that Mccann had deserved the aggression because she had threatened the driver’s livelihood by asking for his badge number.
“Well, the driver is likely just trying to feed his family and you threatened to put his livelihood in jeopardy, so…”
Slate reports that Mohrer was also implicated in the recent scandal where Uber employees were caught booking and then canceling huge numbers of rides from rival services like Lyft.
Anyone confused about Uber’s unwillingness to seriously sanction Mohrer need only look back to the circumstances behind his hiring. Uber’s original General Manager in New York, Matt Kochman, quit the company  after coming to believe that Kalanick’s blanket unwillingness to respect the law was “irresponsible.” Reported the Verge:
Kochman left Uber to do consulting for transportation brands and startups, fed up with Uber’s irreverent attitude toward regulators. “Discounting the rules and regulations as a whole, just because you want to launch a product and you have a certain vision for things, that’s just irresponsible,” Kochman said.
Clearly in hiring Mohrer, Travis Kalanick wanted, and found, someone who would suffer no such crises of conscience. Uber might claim to be taking “disciplinary actions” against Mohrer but it’s more likely that, behind the scenes, Kalanick is high fiving his loyal lieutenant.

UBERPOP CONTINUE au moins jusqu'au 12 Décembre 2014



Lors du procès qui se déroulait au tribunal de commerce de Paris, ce 28 novembre 2014, ce n'était pas la société UBER en elle même qui était dans le collimateur de la justice mais son service: Uberpop de transport partagé entre particuliers, cible depuis des mois des  chauffeurs de taxi et de VTC qui mènent une campagne de lobbying intense à l'encontre d'UBER en prenant pour cible les conducteurs UBERPOP qui en plus de devoir être vigilant aux réactions parfois violentes des chauffeurs de taxis, doivent faire face à la brigade des professions réglementées qui n'hésitent à sanctionner lourdement les conducteurs non professionnels évidemment pris en compagnie de passagers. La répression est très importante pour la plus grande joie des chauffeurs de taxi qui devront à mon humble avis être tout aussi et plus régulièrement contrôlés d'autant plus qu'ils ne portent pas de manière visible leur carte professionnelle.
Revenons à l'audience d'aujourd'hui qui fut d'après les articles de presse très technique, il en ressort que le tribunal va devoir répondre à la question suivante:


Le service «UberPOP» du géant du véhicule de tourisme avec chauffeur (VTC) Uber constitue-t-il une «concurrence déloyale» pour les autres VTC? 
 Le tribunal de commerce de Paris a mis sa décision en délibéré au 12 décembre.

Est ce suffisant en cas de oui pour mettre fin à UBERPOP ou sera t-il demandé à UBER de revoir sa copie de son service lowcost avec un délai de réalisation.

Dommage que dans les débats, l'intérêt du citoyen prime si peu. Qui sera, en cas de disparition d'UBERPOP  présent pourramener les jeunes chez eux et à moindre coût.

Et puis la question mérite d'être posée : Comment réagiront
les professionnels, UBER compris si une application qui se propose de raccompagner gratuitement les teufars. Serait ce aussi de la concurrence déloyale.

Peut on en faire du transport public bénévole sans carte professionnelle. Si ou

Attention à la jurisprudence, il y a comme un problème et si c'est non alors, c'est la mort de milliers de clubs sportifs.


Avant, il y avait ça http://retourdeboite.free.fr/     aujourd'hui; c'est UBERPOP, demain on aura quoi Heetch, Jump ou des séries noires sur les routes comme liées à l'alcool http://www.e-sante.fr/alcool-volant-3-000-morts/an/actualite/1511.

L'Etat doit comprendre que les gens ne prennent pas le taxi pour de nombreuses très bonnes raisons comme le prix abusif.   

jeudi 27 novembre 2014

UBERPOP sera t-elle sacrifiée ?

Confrontée à des attaques juridiques venant de toute part dans le monde entier spécialement en raison de son offre UBERPOP  qui fait l'unanimité contre elle un peu partout, la société UBER qui pèse aujourd'hui près de 40 Milliards de $ ne pourra pas être tentée de se débarrasser de son bébé UBERPOP en se positionnant sur son offre VTC qui malgré les critiques des taxis semble plus facile à défendre devant les cours de justice. La pression est forte sur les conducteurs UBERPOP dont beaucoup ont été confrontés à des réactions violentes de la part de chauffeurs de taxi qui préfèrent se faire justice en organisant soutenus par leurs syndicats des opérations agressives avec dégradations matérielles et atteintes physiques avec une certaine complaisance des services de police qui non seulement ne réagissent mais qui plus est interpellent les conducteurs UBERPOP, les met en garde à vue et les convoque devant les tribunaux sans la moindre réaction officielle de la société UBER. C'est suffisant pour décourager bon nombre de conducteurs déjà bien déprimés après la baisse de près de 27% du montant des courses qui  fait dire à certains qu'ils en sont presque à mettre de l'argent de leur poche pour permettre à des passagers d'être transportés spécialement les nuits de forte affluence.
L'effet se fera vite ressentir, le jour où UBERPOP sera interdit même si la relève est déjà là avec Heetch. Certains jeunes risquent d'être moins tentés de faire la fête appréhendantt le coût du transport retour tard la nuit.

Malgré les nuages noirs qui planent au dessus d'UBER, je suis assez confiant. UBER va juste se professionnaliser, les prix augmenteront surement et certains UBERPOP découvriront le métier de chauffeur professionnel à plein temps. 

On ne peut pas arrêter le progrès, on pourra juste le ralentir et ceux qui freinent des deux pieds disparaitront du marché du transport. On ne fait pas du neuf avec du vieux, surtout quand il est ringard et réactionnaire au modernisme.

L'économie de partage va au delà du secteur du transport, c'est un pan énorme de l'économie numérique qui a besoin d'une clarification juridique: De la vente en ligne entre particuliers jusqu'à la location d'objets divers en passant par les échanges de service, il faut tout repenser parce que l'Etat a besoin d'argent et l'économique numérique entre particuliers lui échappe totalement. L'exemple,le plus frappant est par exemple le partage de services entre professionnels à titre gracieux dans la construction d'une maison. 
Si on veut applique la logique du transport de manière rigoureuse, il faudrait interdire tous les transports de jeunes sportifs par des parents bénévoles!? Au delà de savoir si le conducteur se porte volontaire bénévolement ou moyennant finance, est il habilité à faire du transport. Les sociétés de location de véhicules de transport de plus de 6 personnes sont elles en droit de fournir un véhicule qui servira à transporter des passagers , moyennant finance ou pas. En 2 mots, le problème est il simplement, une histoire de fric ou une histoire de sécurité.


http://www.huffingtonpost.com/2014/11/27/uber-nevada_n_6231070.html?&ncid=tweetlnkushpmg00000067





Faites entrer les accusés

Il y a une guerre féroce que se livrent associations de taxis, entreprises de vtc et Uber sur l'avenir d'Uberpop mais dans cet affrontement sans merci devant les tribunaux où le fisc et les politiques se sont invités, les usagers, citoyens des temps modernes de la génération Y sont les oubliés et les véritables victimes et pourtant ce sont eux en réalité qu'on accuse. On les accuse d'être les complices d'UBER en utilisant leur service, on les accuse de porter atteinte au produit français. Il fallait la sortir celle là: consommer français en faisant appel à un artisan de France. J'en ris. On demande au citoyen du coin de se faire tondre par du "pur" made in France plutôt que rouler dans des véhicules aux couleurs d'une société américaine qui fait de l'évasion fiscale sauf que tous les artisans taxis sont loin d'être des anges doués d'une grande honnêteté et d'un grand esprit patriotique.


Il y a un an, Taxis et VTC s'étripaient (lire). Aujourd'hui, ils ont décidé de s'associer pour casser les UBERPOP.  Peut on espérer que demain, tous les 3 s'entendront en comprenant qu'il y a de la place pour tous moyennant une législation plus cohérente qui puisse permettre à tous de trouver sa part du marché. Le problème, en réalité n'est pas de satisfaire, les transporteurs qui se veulent être au service du citoyen mais bien de penser au citoyen qui a besoin d'être transporté d'un point à l'autre sans forcément dépenser une fortune. Bon sang de bonsoir, c'est comme l'hôtellerie, les étoiles ne sont pas faites pour les chiens, il n'y a pas que du 5 étoiles. On trouve dans la mesure du possible des hôtels pour tous les goûts et tous les budgets et ça n'empêche pas non plus de voir des particuliers mettre à dispo des chambres dans le cadre d'Airnb même si ce système semble être sorti de son objectif initial et à ce titre a besoin d'être mieux recadrer par la loi.

J'ose espérer que nos législateurs auront l'intelligence de penser à ces jeunes qui la nuit venue ne savent plus comment rentrer chez eux et qui n'ont pas les moyens de prendre un taxi quand ce dernier daigne bien le transporter.


Demain, on saura ce qu'il en sera d'UBERPOP et s'il faille en parler au passé ou au présent.

mercredi 26 novembre 2014

Apple ne sait pas retenir ses talents.

En lisant ce  lien qui parle du débauchage par UBER de grosses pointures d'Apple dans le domaine de la cartographie , je commence à comprendre l'article incendiaire et ridicule trouvé par hasard, il y a 1 semaine dans une revue dédiée à la pomme. Article ridicule parce que reprenant une information usée par le temps et sans aucun intérêt et surtout abordé comme si ça datait de la veille. Voici cet article où mon commentaire avait été supprimé et moi banni du site:

Voici le commentaire qui avait été supprimé de l'article et qui m'avait valu un bannissement.

"Et on ose appeler ça un article de presse. On reprend une vieille info et on la publie comme si c'était un scoop. Je mets mon com ici au cas, où on le sucre .
J'hallucine, on parle d'UBER et que fait Arnaud, il fait les poubelles et fait remonter une info qui date de quelques semaines en prenant même pas la peine de s'informer sérieusement sur la nature de l'opération qui était prévue et qui n'avait choqué qu'outre atlantique, le pays du puritanisme. Juste pour info, faites un saut dans les salons de l'automobile et vous découvrirez comment on procède pour attirer le client. Il y a quelques jours, rueducommerce avait fait un buzz assez sexiste mais pas intéressant bien sûr. Votre article fait de la peine, essayez de proposer du new et pas du réchauffé"




J'espère seulement qu'Apple ne va pas interdire l'application UBER sur sa plateforme.  elle en est bien capable même si les deux sociétés ont besoin de travailler ensemble comme le démontre cet article: http://razorianfly.com/2014/10/22/new-apps-added-apple-pay-health/





Rendez vous au 28 novembre 2014

Les concurrents d'UBER soutenus par l'administration tirent à boulets rouges sur UBER concernant son offre UBERPOP. UBERPOP serait il menacé ?
Uberpop est une pièce maîtresse dans le dispositif de la société UBER, je dirai même que c'est son principal cheval de bataille en vu de s'implanter durablement en France. C'est la raison principale qui pousse tous les concurrents d'UBER même ennemis entre eux à s'allier pour l'affaiblir. Aussi surprenant que cela puisse l'être, d'autres concurrents à UBERPOP et qui font la même chose ne semblent pas toucher par les critiques.

Il n'empêche que le tribunal de commerce de Paris va prendre une décison vendredi 28 novembre 2014 à moins d'être dans l'incapacité de traiter l'affaire dans l'immédiat. En cas d'arrêt du service UBERPOP, les effets pourront être assez inattendus. Beaucoup de conducteurs refuseront de passer professionnels, pourront passer à la concurrence mais il est possible surtout l'hiver s'installant que beaucoup de jeunes feront moins la fête en espérant que les jeunes conducteurs responsables ne prendront pas leur voiture en état d'ébriété pour rentrer après une nuit bien arrosée.


A l'issue de deux heures et demie de débats, le tribunal de commerce de Paris a fixé hier une nouvelle audience au 28 novembre dans l'affaire Uber, société attaquée pour concurrence déloyale. Et ce, afin d'examiner des questions de constitutionnalité et d'adéquation aux règles européennes soulevées par le leader mondial du véhicule de tourisme avec chauffeur (VTC). Le président du tribunal avait été saisi en référé par des sociétés de VTC elles-mêmes soutenues par des associations et syndicats de taxis.




Pour patienter jusqu'au 28 novembre, je vous invite à lire cet article assez intéressant.
http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/0203947752276-derriere-le-cas-uber-une-revolution-culturelle-1068260.php


un extrait de cet article:
"Conscients de l’incapacité des responsables politiques à sortir de rapports de production et de consommation obsolètes, s’estimant suffisamment compétents pour formuler leurs propres choix, les Français ont décidé d’agir par eux-mêmes. La technologie n’est qu’un moyen appréhendé dans un rapport extrêmement utilitariste. C’est pourquoi les politiques et les magistrats auront beau ériger de nouvelles barrières, hisser tous les ponts-levis et élargir les fossés pour bloquer Uber et les autres, la citadelle tombera car la multitude mène un formidable travail de sape souterrain." (Robin Rivaton)

mardi 25 novembre 2014

A qui profite le crime ?

Voici un excellent article Uber bashing, à qui profite le crime  qui décrit l'attitude de la concurrence à l'égard d'Uber et certainement bientôt à d'autres acteurs du transport collaboratif urbain comme Heetch même si aujourd'hui, c'est Uber qui concentre sur elle la quasi majorité des attaques avec une union hétéroclites de syndicats de compagnies de taxis, syndicats de chauffeurs de taxis, CGT en tête et de sociétés de VTC pour défendre leur pré carré.

Que les acteurs d'hier souhaitent se battre pour défendre leurs privilèges, je n'y vois aucun mal mais à condition que la manière ne soit pas celle de bandits de grands chemins. Les dernières actions notamment à Eurexpo le 10 novembre de la part d'un syndicat de chauffeurs de taxis affilié à la CGT est inadmissible du fait que cette action était accompagnée de dégradations matérielles. Une action qui nuit à l'image déjà plus que ternie des chauffeurs de taxi qui feraient mieux de revoir leur manière de travailler que raconter n'importe quoi sur UBER et les conducteurs comme les accuser de ne pas déclarer leurs revenus. Une accusation gratuite alors que les conducteurs ne manipulent pas d'espèces à la différence des chauffeurs de taxis dont beaucoup sont loin d'être en règle dans l'exercice de leur activité. Je serai curieux de connaître les résultats de contrôle effectués, par surprise, la nuit à l'encontre des chauffeurs de taxi juste pour vérifier s'ils sont bien autorisés à utiliser les licences des voitures qu'ils conduisent et qu'ils sont bien à jour au niveau assurance ou permis. A les entendre beugler ' c'est bien le terme', on a l'impression qu'ils sont irréprochables ce qui est loin d'être le cas et au grand jamais leurs syndicats ne communiquent la dessus alors que l'arrivée massive de chauffeurs de taxis non en règle provoque un grand préjudice à la profession. A de nombreuses reprises, j'ai entendu des gens se plaindre d'avoir pris un taxi conduit par un chauffeur qui ne parlait pas un mot de français ou qui ne savait pas s'orienter dans une ville. J'aurai du mal à croire que ce type de chauffeur a suivi la formation du parfait chauffeur de taxi.
La profession de chauffeur de taxi est avant tout malade de ses propres dérives et même si elle a raison de se battre, elle se trompe de combat en ne ne voyant qu'en UBER, la cause de son dénigrement.
Il y a urgence à légiférer et définir des règles claires dans l'usage des applications pas seulement liées au transport mais à l'ensemble des activités liées au travail collaboratif qui ne date pas d'aujourd'hui et qu'on le veuille ou non, Ebay fut un précurseur.

Avec les taxis, on a juste affaire à un lobby puissant qui quelque soit le pays use des mêmes arguments, des mêmes méthodes d'intimidation et comme partout  concentre les même critiques 'prix élevé, véhicules sales, chauffeurs antipathiques'

Uber: le Bureau de la concurrence prend position

Une nouvelle qui fait plaisir à lire alors que la concurrence à UBER, services de VTC compris fait rage devant les tribunaux pour mettre un terme à l'aventure débutée en 2009.

ça se passe au Canada et plus particulièrement à Montréal où Uber est comme partout attaqué par les syndicats de Taxi et qui comme à Lyon ou Paris sont souvent dénigrés pour les même raisons: prix élevé, chauffeurs désagréables, véhicules pas propres.




Extrait de l'article en date du 25/11/2014 http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201411/25/01-4822411-uber-le-bureau-de-la-concurrence-prend-position.php
Le Bureau de la concurrence soutient que les autorités municipales devraient y réfléchir à deux fois avant de statuer que les services de répartition numérique de l'industrie du taxi devraient être interdits.

Dans un communiqué publié sur son site Internet, mardi, l'organisation note que les élus locaux devraient se demander s'ils ne peuvent pas imposer des règles moins restrictives pour en arriver à apaiser leurs inquiétudes.
Le Bureau précise que «ces nouveaux modèles d'affaires ont le potentiel nécessaire pour offrir d'importants avantages aux consommateurs en stimulant la compétition», ce qui pourrait entraîner une diminution des prix et une meilleure qualité de service.
Cette prise de position ne sort pas de nulle part.
La semaine dernière, les autorités de Toronto ont précisé vouloir obtenir une injonction pour contraindre Uber Canada à mettre un terme à ses activités dans cette ville.

lundi 24 novembre 2014

Soutien à la pétition UBERPOP

Pétition

500 000 utilisateurs font confiance à Uber dans 6 villes en France au quotidien, dont 160 000 utilisateurs réguliers et conducteurs d'uberPOP.

La solution de transport entre particuliers uberPOP est aujourd’hui menacée par les attaques en justice du groupe Transdev, qui jouit depuis des décennies d’une situation de quasi monopole sur les transports collectifs français, ainsi que celles de plusieurs syndicats de taxis.

Ces attaques s’appuient sur une loi votée en urgence cet été, sous la pression de lobbies cherchant à protéger leur rente, et au détriment des consommateurs qui n’ont pas été consultés. Cette loi était portée par un député, Thomas Thévenoud, ministre éphémère, dont l’absence de crédibilité ne fait aujourd’hui plus de doute.

La décision du Tribunal de Commerce de Paris attendue dans les prochains jours constituera la première interprétation d’une loi qui pourrait mettre en danger la mobilité partagée et l’innovation dans le transport, portées par Uber et de nombreuses startups françaises et européennes.

J’ai confiance en l'avenir et je soutiens le développement de solutions de transport entre particuliers comme uberPOP et uberPOOL, permises par la technologie et plébiscitées par des millions de personnes dans le monde.

Je soutiens uberPOP, une solution de transport fiable, sûre et abordable en ligne avec son temps !
 


  • Uber France -
J'apporte mon soutien à uberPOP en signant cette pétition.  lien de la pétition 

Le covoiturage, c'est bon pour l'économie

Si les chauffeurs de taxi avec leur tête des syndicats peu enclin à se pencher sur les doléances des clients de leurs adhérents passent leur temps à toujours se plaindre d'une situation dont ils sont en partie responsable, ce n'est pas un motif suffisant pour mettre un terme un terme au covoiturage intra-ville après le succès du covoiturage inter-ville. 

Bien sur qu'une partie de leurs préoccupations sont légitimes mais une partie seulement, celles qui concernent les règles de sécurité et de responsabilité du conducteur en cas d'accident pour le reste, de nouveaux métiers s'appuyant sur de nouvelles technologies voient le jour et c'est aux chauffeurs de taxi d'évoluer mais en justifiant leur investissement dans des licences au coût prohibitif dont ils sont les seuls responsables. Pour le reste, il faut tout mettre à plat et réviser totalement les codes du transport loin du dernier projet Thevenoud qui est du rafistolage pour calmer une profession qui manie le chantage, la violence et la contrainte pour imposer ses manières de fonctionner obsolètes. 

Le marché du transport domestique explose, les usagers aujourd'hui sont incités à moins utiliser la voiture individuelle mais pas pour se rabattre sur des taxis hors budget et conduits par des individus souvent peu agréables d'après ceux qui en faisaient un usage habituel avant l'apparition d'UBER POP, Sidecar, Lift, de Heetch ou d'autres applications de covoiturage intra-ville.
Perso, j'utilise très rarement le taxi et ce n'est pas demain que je changerai d'habitude.


Dans ce monde du transport qui voit de nouveaux acteurs qui bousculent les habitudes et loin d'une anarchie qu'on agite comme un épouvantail par les éternels agitateurs et râleurs, il est agréable de lire des écrits qui vantent l'arrivée du covoiturage comme celui que je viens de lire et dont je partage le lien.




J'espère que la loi évoluera et que la France ne restera pas à la traîne pour faire plaisir à une profession, celle des chauffeurs de taxi qui fait peine à voir.

samedi 15 novembre 2014

Le malaise de la profession de chauffeur de taxi, ce n'est pas du vent mais à qui la faute ?

La profession de chauffeur de taxi, bien avant l'apparition des sociétés de VTC ou des nouvelles applications style UBER, blablacar ou heetch en ce qui concerne la France a de temps connu des crises. Et si les chauffeurs de taxi ont pris en grippe la société UBER après s'être pris aux moto-taxi et aux sociétés de VTC en général , la rendant responsable de tous les maux des artisans taxi, société de taxis ou chauffeurs salariés, ils se trompent lourdement et ne pas prendre le taureau par les cornes en se penchant sans ornières sur leurs propres fonctionnements, rien ne sera résolu.

Si les citadins abandonnent le taxi pour les vtc ou même UBER, ce n'est pas seulement à cause du prix.
Le service de Taxi n'est pas à la hauteur des attentes des citoyens devenus exigeants en terme de prix peut être mais aussi de qualité de service. Ils en ont marre d'attendre longtemps, ils en ont marre d'être plumés par des chauffeurs de taxi malhonnêtes parce que la profession ne fait pas le ménage et il n'y a qu'à voir les réactions violentes sur twitter de quelques chauffeurs en anonyme même si j'espère, qu'ils ne représentent pas la majorité. Les citadins utilisateurs de transport urbain ne comprennent pas pourquoi les chauffeurs de taxi refusent les courses courtes. Et ce n'est qu'un extrait des revendications que j'entends.


Tout à l'heure, j'ai lu deux articles intéressants qui parlent des conditions de travail d'un chauffeur de taxi et d'un chauffeur de VTC. Quand on lit leurs doléances, le constat est qu'ils sont tous les deux en galère. Alors les voir, tous les deux s'entredéchirer, ça tourne à l'absurde et ça ne résout aucun litige.

Voici les articles: Tribulation d'un chauffeur de taxi: ici et celui d'un chauffeur de VTC:

Ces combats de coq, on ne le trouve pas entre hôteliers et Airbnb pourtant, c'est très tendu
ni entre Air France et les low cost ou entre la sncf et les lignes de bus inter urbains et la société blablacar,
ni entre restauration étoilée et restauration rapide ou vendeurs de sandwichs à la sauvette.

Les problèmes doivent être traités par les représentants du peuple qui fixent la loi et toute dérive violente de la part des chauffeurs de taxi se retournera inévitablement contre eux.



Pour finir, il y a un bon paragraphe sur l'Histoire des taxis en France qui montre comme je l'ai dit au début que cette profession a connu des bas historiques.


jeudi 13 novembre 2014

Que fait la police ?

Faut il qu'il y ait des morts pour que la police et la justice se décident à sévir pour mettre hors d'état de nuire ces  voyous agressifs de chauffeurs de taxi dont rien n'indique qu'ils appliquent la loi strictement et qu'ils s'agit de leurs véhicules. Dernièrement, c'est une étudiante qui a subi leurs foudres. Ils sont une honte et portent lourdement préjudice à une profession dont l'image est bien détériorée.

L’arrivée récente de l’offre de transport Uber génère des tensions sur fond de concurrence avec les taxis classiques. Elles ont dérapé le mois dernier à Lille. Des taxis ont empêché une étudiante de monter dans des Uber. L’un d’eux a jeté un objet qui l’a blessée à la tête. Elle a porté plainte.

mardi 11 novembre 2014

LOI n° 2014-1104 du 1er octobre 2014 relative aux taxis et aux voitures de transport avec chauffeur

Cette loi est passée inaperçue et pourtant, elle est intéressante à plus d'un titre. elle prépare entre autre la fin des licences de stationnement transmissibles et elle fait apparaître très clairement que tous  les chauffeurs de taxi ne sont pas autorisés à stationner. elle définit le rôle de chacun taxi et VTC mais ne dit rien sur le système de mise en relation entre conducteurs citoyens et passagers au travers d'une application internet basée sur la géolocalisation. Elle donne 1 an aux chauffeurs de taxi de se mettre à la géolocalisation. Je vois bien les taxis en pleine campagne se géolocaliser ou même instaurer le paiement par CB. Ils sont trop pour beaucoup d'entre eux à broyer du "NOIR".



http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000029527162&categorieLien=id

Nul n'est au dessus de la loi, ni même les chauffeurs de Taxi

Parmi les utilisateurs d'Uber, nombreux sont les gens à avoir eu des démêlés avec des chauffeurs de taxi ténébreux, violents, vulgaires et surtout non irrespectueux de la loi. S'ils agissent ainsi, c'est parce que les usagers sont peu nombreux à les dénoncer et pourtant, ils sont souvent hors la loi et pour mettre fin à cette illégalité, agissez.
Vous avez effectué un trajet en taxi mais ça s'est mal passé : le chauffeur de taxi a eu un comportement intolérable (impolitesse, etc.), le prix de la course est excessif... Il est également possible que vous ayez été victime d'un refus de prise en charge par le chauffeur de taxi. Dans ce type de situation il vous est possible d'envoyer une réclamation à l'encontre de ce chauffeur de taxi auprès de la mairie de la commune de stationnement ou à la préfecture de police de Paris si c'est un taxi parisien.
Il existe une réglementation pour les prix appliqués par les chauffeurs de taxi. Chaque année, elle est mise à jour par un arrêté préfectoral. Le tarif d'une course de taxi dépend de votre département. Il est fixé en fonction de l'horaire, de la zone et de la circulation.
Les tarifs appliqués par votre chauffeur de taxi doivent apparaître dans sa note de taxi. Si le tarif de la course est égal ou supérieur à 15 euros, le chauffeur de taxi est tenu de vous remettre la note. Lorsque vous souhaitez contester le prix de la course, vous êtes dans l'obligation d'en payer le prix. En cas de refus, vous vous rendez coupable d'infraction. En l'absence de note, il est fortement conseillé de relever la plaque d'immatriculation du taxi.
Pour ce qui est de la course, en principe, le chauffeur de taxi n'a pas le droit de vous la refuser. Cependant, il existe quelques exceptions :
  • si un taxi libre vous attend,
  • si vous vous situez à moins de 50 mètres d'une station de taxis,
  • si vous êtes en état d'ébriété et que vous risquez de salir le taxi,
  • si vous êtes accompagné d'un animal (sauf chien d'aveugle),
  • dans le cas où vos bagages sont trop lourds, volumineux.
Si la réclamation s'avère infructueuse, vous avez la possibilité de porter plainte afin de faire valoir vos droit et obtenir indemnisation pour le préjudice subi.

lundi 10 novembre 2014

Respecte d'abord ta barbe, après tu viendras me causer



Choc, cette nuit à Eurexpo lors de la nuit Dantesque, un groupe de chauffeurs de taxi aux allures de terroristes version daesh se sont violemment pris à plusieurs chauffeurs de VTC: pneus crevés pour certains, tabassage en règle pour d'autres. La police, bien sur  n'est pas intervenue. Un laisser faire inacceptable dans un Etat qui se dit de droit. Ces chauffeurs de taxi ont agi en groupe de manière totalement lâche usant de la force et de l'intimidation pour imposer leur propre loi. Des scènes qui se sont déroulées sous mes yeux. De soi-disant Musulmans même pas foutu de respecter leur barbe alors leurs clients, il ne faut pas y compter. Si la profession de taxi s'exprime par l'intermédiaire de ces voyous alors je comprends un peu mieux le désintéressement de plus en plus profond des usagers vis à vis d'un corps de métier qui s'exprime par la violence et la vulgarité.

Ces chauffeurs de taxi veulent imposer leur loi par la force s'imaginant que les gens vont se laisser détruire leur véhicule ou tabasser sans réagir. Ils se sentent fort juste quand ils agissent en groupe mais individuellement, je ne suis pas certain qu'ils oseront agir en toute illégalité. Leur action est hors la loi et la justice doit faire son travail vis à vis de ces voyous barbus qui sont une insulte à l'islam.

Quand on assiste à leur comportement, ça ne donne pas envie de prendre un taxi. La profession a tout à gagner de se débarrasser de ces lascars dérangés par la concurrence des VTC qui vient à juste raison les bousculer. Au départ, je pensais qu'il y avait dans le monde du transport privé de la place pour tous. Après avoir assisté à ce déferlement de haine et de violence, je ne peux que souhaiter la fin des taxis voyous .