Le progrès dans les services aux particuliers ne se fait pas sans casser des oeufs. J'ose espérer qu'une solution acceptable pour tous et surtout les usagers verra jour. En attendant, c'est la guerre.
Depuis 2010, Uber s'est mis à dos les maires et les taxis de 128
villes à travers le monde. Pour ne pas freiner son expansion,
l'entrepreneur s'est attaché les services de 3 avocats permanents, ainsi
qu'une cinquantaine de cabinets juridiques. Et avec une certaine
réussite: seules Calgary et Vancouver (Canada) ont obtenu d'Uber qu'il
plie bagages en 2012. Toronto et Montreal sont d'ores et déjà sur les
rangs pour arriver au même résultat.
Uber rencontre aussi des critiques dans son marché d'origine, en
particulier à San Francisco. Ses applications "encouragent les
conducteurs non professionnels à utiliser leurs véhicules personnels
pour conduire les passagers, un risque que l’assurance automobile ne
couvre tout simplement pas", a expliqué à Bloomberg Dave Jones,
le Commissaire du Département californien des assurances. En effet,
Uber n'emploie aucun chauffeur: elle fournit une technologie de mise en
relation entre ces derniers et les utilisateurs.(réf lien1)
http://www.huffingtonpost.fr/2014/06/11/uber-taxis-muncipalites-monde-san-francisco_n_5479855.html?utm_hp_ref=france
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