samedi 14 juin 2014

Oh que oui, UBER dérange

UBER dérange du monde. Les lobbies des chauffeurs de taxi, même les VTC des autres compagnies, les métropoles du monde entier qui appréhendent les opérations escargot des chauffeurs de taxi et les autorités publiques qui craignent de voir se développer un réseau de taxis clandestins.
Le progrès dans les services aux particuliers ne se fait pas sans casser des oeufs. J'ose espérer qu'une solution acceptable pour tous et surtout les usagers verra jour. En attendant, c'est la guerre.


Depuis 2010, Uber s'est mis à dos les maires et les taxis de 128 villes à travers le monde. Pour ne pas freiner son expansion, l'entrepreneur s'est attaché les services de 3 avocats permanents, ainsi qu'une cinquantaine de cabinets juridiques. Et avec une certaine réussite: seules Calgary et Vancouver (Canada) ont obtenu d'Uber qu'il plie bagages en 2012. Toronto et Montreal sont d'ores et déjà sur les rangs pour arriver au même résultat.
Uber rencontre aussi des critiques dans son marché d'origine, en particulier à San Francisco. Ses applications "encouragent les conducteurs non professionnels à utiliser leurs véhicules personnels pour conduire les passagers, un risque que l’assurance automobile ne couvre tout simplement pas", a expliqué à Bloomberg Dave Jones, le Commissaire du Département californien des assurances. En effet, Uber n'emploie aucun chauffeur: elle fournit une technologie de mise en relation entre ces derniers et les utilisateurs.(réf lien1)


http://www.huffingtonpost.fr/2014/06/11/uber-taxis-muncipalites-monde-san-francisco_n_5479855.html?utm_hp_ref=france

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