vendredi 20 février 2015

A rude épreuve

A Bordeaux, Lyon et surtout Paris et depuis le 1er janvier 2015, les conducteurs qui roulent sous la bannière UBERPOP jouent au chat et à la souris avec les services de police. On aurait pu penser qu'avec les attentats parisiens, la tension allait s'orienter ailleurs. Il n'en fut rien. Le nombreux de PV entre début janvier et mi février à exploser à Paris. 34 en 2014, 60 en janvier et déjà 64 en février. En réalité la cible de la police, c'est UBER, étonnant alors que les autorités publiques ne s'en prennent pas directement au géant du covoiturage urbain. Est en raison de son lien avec Google que le ministre de l'intérieur veut associer à sa sa guerre contre le terrorisme islamique?
En attendant, les citoyens conducteurs continuent à assurer le service avec les encouragements d'UBER qui assure le service juridique et s'engage à payer les amendes et à soutenir les futurs convoqués devant les tribunaux.

La question que se pose la plupart des conducteurs et des passagers est :" Si c'est interdit, pourquoi l'application est active ?"

En plus, c'est vrai, il y a de nombreuses annonces publicitaires dans le NET et encore et toujours des appels à s'engager comme conducteur UBERPOP.

UBER réagit à sa manière: d'une part devant les instances européennes pour faire annuler la loi Thevenoud et vis à vis des conducteurs UBERPOP en leur proposant de se professionnaliser. Cette dernière solution risque de laisser sur le carreau de nombreux conducteurs qui pour des raisons contractuelles ne pourront pas répondre aux exigences d'UBER  et ne satisferont nullement les Taxis qui ne feront pas le poids face à cette redoutable directe concurrence en plus des UBER BERLINE.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire